C’est là où nous en sommes… et c’est aussi là où nous allons …

Pour commencer, merci Maylis de permettre à la classe de 3ème 4 d’entrer dans cette « promenade littéraire et épistolaire ».
Voici tout d’abord le parcours suivi par la classe pour les deux premières séances puis les premières traces de lecture et d’écriture laissées par les élèves…

En apéritif, décrire…

Après une rapide entrée en matière sur les représentations des élèves (« LIRE pour moi, c’est… / ECRIRE pour moi, c’est… », représentations dont nous reparlerons à l’issue du travail pour observer le chemin parcouru), nous avons distribué « en apéritif » différents indices autour du livre.
Il s’agissait d’ouvrir l’appétit de lecture, d’arpenter ce nouveau territoire, comme votre premier signe nous y invitait, et en particulier de décrire, d’observer à la loupe le/les document(s) en possession des élèves. (première de couverture (titre + image), titre seul, épigraphe, incipit (divisé en deux parties : description du lieu / description du groupe)).

Le Hors-d’oeuvre : enquêter sur "l’Objeu-livre"…

Les pistes différentes, extraites du livre de poche et distribuées dans des groupes de deux ou trois élèves, nous ont permis d’adopter ensuite une position d’enquêteur en rassemblant les pièces d’un premier puzzle.
Jeu de pistes et jeu d’hypothèses. Les élèves sont entrés dans l’activité, souvent intrigués par des indices retors, recherchant toujours à donner ce qu’ils pensaient être LA véritable histoire de Corniche Kennedy.

Le plat de « résistance » : écrire pour la collecte…

Un dernier temps d’écriture a été proposé à tous les élèves avec tous les indices réunis et des embrayeurs d’écriture : « J’imagine que… », « Ce que je voudrais confier à l’auteure,… », puis, pour récapituler, un temps de synthèse a été mené avec le texte de la quatrième page de couverture.

Et bientôt, le dessert ?
Nous attendons désormais un deuxième signe, une deuxième balise, un nouvel éclairage pour entrer plus directement dans l’histoire et cesser les intrigues de cuisine !…

C’est là où nous en sommes… et c’est aussi là où nous allons … (À suivre)