Réponse des 3èmes 2

Groupe 1 : Grigorian Christine, Olivar Julie, Le Van Han Priscillia, Da Costa Ana Rita

La vie ne tient qu’à un fil

Kennedy est l’un des plus jeunes présidents des Etats-Unis qui a été assassiné lors de l’exercice du pouvoir. Il peut représenter dans le livre un quartier fréquenté par les jeunes.
Corniche a une majuscule qui fait penser au nom d’un lieu. C’est un bord de mer et un lieu riche puisque les bords de mer sont habités par des personnes qui en ont les moyens.
Corniche Kennedy représente les deux assemblements de Corniche et de Kennedy : le bord de mer et le quartier.
Le fait que les jeunes fréquentent cette corniche peut suggérer qu’il va leur arriver la même chose qu’au président Kennedy.
Le titre fait également penser à la mer, aux vacances, à la joie, à la jeunesse.

La première de couverture représente les jeunes de notre époque. Elle est cohérente avec le titre parce qu’elle montre la mer et des jeunes. Ils profitent de la vie ; ils se la « jouent ». Ils sont contents. Elle ne montre que des garçons dans l’eau et pas une fille. C’est la bande dans laquelle les garçons sont les chefs.

Le territoire dans lequel on entre appartient aux adolescents. Il est privé. Il y a des règles à respecter. Il faut effectuer des épreuves pour y entrer. Il a un chef.

La quatrième de couverture a des phrases tirées du livre qui décrivent les jeunes. Elle comporte aussi un résumé et une critique. Elle parle de « fil », de « vertige », quelque chose de mal que font faire les jeunes comme quand on dit « la vie ne tient qu’à un fil ». Ils vont mettre leur vie en danger et ils peuvent se faire arrêter (on parle aussi d’un « commissaire »).

Groupe 2 : Drop Amandine, Montagon Sandra, El Heni Inès, Dias Macedo Océane

Un lieu qui est comme un personnage

Une corniche est un endroit clos où l’on ne peut pas entrer, ni sortir comme bon nous semble. Elle est en bord de mer, déserte.
Kennedy était le plus jeune président des Etats-Unis. Il fut assassiné, ce qui peut provoquer un malheur pour la bande.
Si nous frottons ces deux mots ensemble, nous constatons que Corniche Kennedy est un endroit clos, privé (il appartient aux jeunes), préservé, snob, prestigieux. Le côté prestigieux vient du mot Kennedy et une Corniche est un endroit clos. Le titre n’a pas d’article, ce qui montre quelque chose de direct, de nerveux (il va se passer de l’action). Cela représente aussi un lieu qui est comme un personnage : Corniche Kennedy pourrait être le nom d’un personnage. Ce lieu va donc jouer un rôle important dans l’histoire, c’est un personnage en plus des jeunes.

Sur la première de couverture, on voit quatre jeunes dans l’eau dont un qui est peut être narcissique car il veut être au centre de la photographie. On remarque qu’il n’y a aucune fille, ce qui nous laisse dire que cet endroit peut comporter une minorité de filles, voire pas du tout.

Un territoire peut être un endroit clos qui ne comporte que des jeunes qui se connaissent. Ils viennent dans cet endroit pour être en paix avec la vie extérieure, la famille, le travail à l’école…Ils ont tous la même notion de liberté et ils sont arrogants. Ils forment une bande bien soudée qui comporte un leader.

Groupe 3 : El Hoceini Imène, Sanon Sadoine, Yacoubian Tom, Bodoé Athyna

Attention danger !

Corniche fait penser à une falaise en bord de mer, à une route dominant un à pic, surplombant la mer. Elle donne le « vertige » par sa hauteur. Elle fait penser à la plage, à l’été.
Kennedy est un personnage historique (ancien président des Etats-Unis), célèbre. Le nom donne plus envie d’y aller : il fait penser à un endroit célèbre. Le président Kennedy était jeune : le titre fait penser à la jeunesse, à l’adolescence. Les jeunes peuvent aussi se faire tuer comme le président. Ils sont opposés aux forces de l’ordre.
Avec ces deux mots, l’auteur veut montrer qu’il y a un risque de chute, un danger. Les deux mots insistent sur ce risque.

La première de couverture contient des couleurs vives avec un fond blanc qui fait ressortir le nom de l’auteur en rose et le titre en noir. Le bleu de la mer fait penser à l’espoir, à la joie. Les jeunes ont l’air heureux.

Dans la quatrième de couverture, l’expression « les p’tits cons » appartient au langage familier. Elle fait penser au vocabulaire des adolescents, d’une bande.

Le territoire, c’est la corniche. C’est comme un cercle ou un demi-cercle juste pour eux. Il y a des règles qui sont imposées mais aussi des limites. Seuls les personnages du groupe peuvent entrer.
Les jeunes veulent s’isoler pour faire des choses interdites, s’isoler des adultes (fumer, faire des plongeons). Ils sont livrés à eux-mêmes. En sautant, en plongeant, ils mettent automatiquement leur vie en danger. Mais ils sont sous surveillance d’un commissaire.

Groupe 4 : Aleroev Islam, Kodjo Nobel, Sulemani Mergim, Sultanov Gor

Etre fort et ne pas avoir peur

Corniche : un pont, un bord de mer, une falaise.
Kennedy : le nom d’un président des Etats-Unis. C’était le plus jeune, c’est peut-être en rapport avec les jeunes du livre. C’est le seul président à être assassiné. On peut émettre l’hypothèse que la bande des jeunes va assassiner quelqu’un ou va se faire tuer.
Kennedy est un nom prestigieux, ce qui rend la corniche célèbre.

La première de couverture : quatre jeunes s’amusant dans l’eau. Le jeune qui se montre au premier plan est peut-être le chef. Il se vante.
C’est leur territoire : ils ne laissent entrer personne d’inconnu et ils sont toujours présents. Ils sont exclus et vivent dans un monde clos.
Le fait de faire des plongeons montre qu’ils sont forts et qu’ils n’ont pas peur.

Groupe 5 : Letat Anissa, Lo Florian, Bouron Josselin, Fagioli Raphaël

Le titre ou un personnage américain

Titre : Corniche est un lieu géographique situé près de la mer où on y trouve des rochers.
Kennedy est une personne politique américaine. C’était le plus jeune président des Etats-Unis. C’est un hommage.
Les deux noms signifient un endroit fréquenté par des jeunes insouciants du danger que représentent des sauts.
Le titre n’a pas d’article : cela montre un lieu universel (les falaises dont plongent tous les jeunes), une situation universelle (les jeunes se regroupent et font des bêtises). Il fait aussi penser à un personnage américain qui réalise ses rêves.

Première de couverture : sur l’illustration, on peut voir un jeune criant de joie et narguant. On voit aussi un groupe d’adolescents nager dans l’eau.

Première et quatrième de couverture : elles mettent en valeur l’auteur et le titre. La quatrième de couverture est relativement basique.

Le territoire : c’est un endroit géographique, délimité par des frontières. Donc la corniche est ce territoire protégé par les jeunes de l’histoire. Les jeunes trainent dans les zones rocheuses car les plages sableuses sont trop fréquentées alors que dans les endroits plus discrets ils peuvent « se lâcher », faire des choses interdites.

Reconnaissance : pour entrer dans le territoire, il faut reproduire des sauts avec réussite.
Paysage : Maylis de Kerangal, décrit le paysage qui relie la ville de Marseille au quartier des calanques. La corniche permet de s’isoler de la fréquentation touristique.

Groupe 6 : David Lucas, Hidri Nizar, Tiaira Mounir, Caballero Alexis

Prendre du plaisir

Corniche fait penser à des rochers.
Kennedy fait penser à John Fitzgerald Kennedy, ancien président des Etats-Unis.
Corniche Kennedy fait penser à une corniche prestigieuse où il y a des personnes aisées. Kennedy est l’un des plus jeunes présidents, ce qui peut montrer la présence de jeunes dans l’histoire.

Première de couverture : photographie de jeunes de la corniche dans l’eau, qui s’amusent. Le garçon au premier plan est en plein saut. Il n’a pas peur et il prend du plaisir. On voit trois autres jeunes qui font penser à une bande.

Histoire : on peut imaginer que c’est un groupe d’adolescents qui passent leur été à la mer.
Territoire : la corniche où ils se retrouvent, leur « squat ». Le paysage est la côte, au bord de la mer, dans le Sud de la France. On peut imaginer un quartier avec des villas assez luxueuses.