Questionnaire de lecture
Corniche Kennedy
de Maylis de Kerangal
Essaie de qualifier le style du livre ( l’écriture, la langue) ?
Explique le nom des plongeons et le rituel de la plongée. Pourquoi les jeunes plongent-ils de si haut quitte à se mettre en danger ?
Quel marché Mario conclut-il avec Suzanne quand elle vient pour la première fois sur la plate ? Quels rapports les garçons de la bande ont-ils avec elle ? (...)
Articles les plus récents
-
Un questionnaire de lecture
7 mars 2012, par Sylvie Fornero -
RENCONTRE À LA LIBRAIRIE DECITRE
6 mars 2012, par Nicolas BernardMaylis de Kerangal sera présente à la Librairie Decitre de la Part-Dieu le Mardi 06 Mars prochain, à l’occasion de la sortie de TANGENTE VERS L’EST, son dernier ouvrage paru aux Éditions Verticales.
>Mardi 6 mars 2012, 17h30.
>Decitre, Centre Commercial La Part-Dieu, Niveau 3.
> 04 26 68 00 85.
>lapartdieu@decitre.fr -
territoires d’adolescence
4 mars 2012, par Véronique ChappuisEn réponse à vos propositions, certains élèves des deux classes de 3ème du collège Gilbert Dru engagées dans le projet se sont lancés à pieds joints dans l’écriture...
UN TERRITOIRE
Les carrés d’herbe en centre-ville. Cet endroit où tout un groupe de jeunes cons avec des goûts et des styles différents se rejoignent pour squatter un métro ou des carrés d’herbe, une binouze et un joint à la main. Un endroit où plein de couples se forment et explosent en même temps. En fait c’est un mélange des feux de l’amour (...) -
Dangereux et excitant...
4 mars 2012, par Sylvie ForneroBonjour à tous,
Voilà enfin nos textes. Comme c’est très tard, Maelys n’aura surement pas le temps de répondre, surtout avec la sortie de son livre. Elle répondra quand elle viendra, très bientôt.
NOS TEXTES
C’est une expression plutôt sympathique qui vise l’adolescence. « Les p’tis cons » fait référence à la jeunesse. L’auteur veut parler des jeunes qui ont tendance à se moquer des anciens. Ils se détachent de leur parents comme on peut le voir dans la phrase ‘on détourne la joue du baiser maternel » et à (...) -
Un saut dans l’inconnu.
25 février 2012, par Pierrick GuillotLes remarques de la classe ont été recueillies en "p’tits groupes". Cette activité a permis de lancer une vague d’élèves dans la lecture du récit. Voici le fruit de leur réflexion. "Nous trouvons que ça fait bizarre de voir qu’un écrivain emploie ce terme et insiste bien dessus mais on croit comprendre que ça a de l’importance dans l’histoire. Le terme représente des adolescents et nous sommes des adolescents. On ne comprend pas encore pourquoi il est employé mais on suppose que les ados de l’histoire sont (...)
-
Entre deux eaux....
10 février 2012, par Laurence BonninL’expression « p’tits cons » est polysémique : elle peut exprimer de la méchanceté ou peut être employée pour rire. Cela dépend du contexte, de l’émetteur et du ton utilisé. (Benjamin, Théo) . Par exemple, s’il s’agit d’une dispute et que l’émetteur est un adulte inspirant crainte et autorité, l’expression est péjorative. L’effet est différent s’il s’agit d’une personne de notre âge. Cette expression peut devenir amicale voire affectueuse selon la proximité et la relation qui unit les deux personnes (Marine et (...)
-
Préparation de la rencontre...
6 février 2012, par Anne DOUVILLEBonjour Maylis,
La rencontre avec nos élèves s’approche à grands pas. Nous vous attendons effectivement au collège le lundi 5 mars dans l’après-midi. Nous sommes impatients, bien-sûr, mais nous nous rendons compte que le temps file à toute allure et que nous n’avons toujours pas envoyé la réponse de nos élèves à votre dernier signe... Nous y travaillons, ne désespérons pas !
Quant à la rencontre donc, j’ai quelques questions à vous poser à son propos : Voyez-vous un inconvénient à ce que l’on partage la (...) -
une certaine tendresse
31 janvier 2012, par Aline SucrotAprès avoir relevé les différentes manières dont étaient désignés les jeunes de la bande dans le premier chapitre (« P’tits cons », « la racaille, la saleté », « Les petits cons de la corniche », « morveux », « ces gosses (…) des merdeux, des branleurs »), nous nous sommes demandé quel regard portait le narrateur (très difficile à ne pas confondre avec l’auteur !) sur ses personnages, c’est-à-dire, ce que « p’tits cons » induisait dans le style du livre. Réactions en vrac (je n’ai pas écrit les prénoms afin que (...)
-
Réponse des 3èmes 2
27 janvier 2012, par Fabrice carnetGroupe 1 : Grigorian Christine, Olivar Julie, Le Van Han Priscillia, Da Costa Ana Rita
La vie ne tient qu’à un fil
Kennedy est l’un des plus jeunes présidents des Etats-Unis qui a été assassiné lors de l’exercice du pouvoir. Il peut représenter dans le livre un quartier fréquenté par les jeunes. Corniche a une majuscule qui fait penser au nom d’un lieu. C’est un bord de mer et un lieu riche puisque les bords de mer sont habités par des personnes qui en ont les moyens. Corniche Kennedy représente les (...) -
Equilibristes
23 janvier 2012, par Patricia BonnardCe sont les filles qui furent les plus inspirées pour réfléchir à ces notions, les garçons étant davantage focalisés sur la "fain" d’année (jubilatoire pour certains !)...
Pour moi, la corniche représente bien l’adolescence : on est là, au bord, et on a peur de tomber dans « ça », dans « l’âge adulte », le moment où on va devenir sage, respectueux, poli. Le moment que l’on redoute depuis longtemps, le passage, le grand saut, le grand jour... Le jour où on vous vouvoie ! Le jour où on veut plus se rebeller, où (...)
Derniers commentaires